Un café au très respectable Cabral Libii Li Ngue
25 mars 2015
Si je te connaissais, les gens pourraient crier au complot de la savonnette. Mais toi et moi nous ne sommes jamais rencontrés. Et pourtant, depuis plus de cinq ans, je t’écoute dans les médias. J’écoute ton langage châtié et fougueux. J’y perçois de temps en temps un peu de zèle, beaucoup d’aisance cognitive, mais surtout de la bonne volonté, cette graine si rare dans le cœur et l’esprit de la majorité des jeunes Camerounais.